Le coup de gueule de l’ACAM : à quoi servent les attachés de presse?

Il y a bien longtemps que nous n’avions pas passé un coup de gueule mais aujourd’hui l’envie est trop forte. Et puis râler un bon coup, ça soulage ! Je vous raconte mon aventure. Aujourd’hui je commence une nouvelle enquête et j’essaie de joindre une attachée de presse dont je n’ai pas eu de nouvelles depuis longtemps. Je me demande même si elle s’occupe toujours du budget sur lequel j’ai besoin d’infos. J’appelle l’agence Oxxxx (non, je ne vous donnerai pas le nom de cette agence car nous ne sommes pas des balances à l’ACAM !). Je tombe sur le standard :

« – Bonjour, pourriez-vous me passer l’attachée de presse qui gère le budget Gxxxx ?

–  Non, désolé, je n’ai pas le droit de vous passer le service si vous ne me donnez pas le nom de la personne…

– C’est madame xxxx

–  Je vérifie… Non, personne de ce nom-là !

–  Je suis bien à l’agence Oxxxx ?

–  Oui, au standard.

– Tant pis ! »

Ca dépasse l’entendement ! Je vérifie sur leur site. Ils ont toujours bien le budget. Mais à quoi servent les attachées de presse aujourd’hui ? Vivent-ils retranchés derrière leur bureau ?

Mes mésaventures ne s’arrêtent pas là. Je reçois un mail d’une autre agence à qui j’avais demandé des infos. Réponse : « vous trouverez les éléments demandés sur le site internet de la marque ». Je me sens fatiguée d’un seul coup… J’ai le sentiment d’appartenir à une civilisation disparue. Que faut-il faire pour avoir un dossier de presse ? Si vous connaissez la réponse, écrivez-nous.